15 juillet 2020
Dans l’après-midi, nous trouvons entre autres :
- Des fruits, qui ont la forme et la taille d’une pèche et la peau et la couleur d’un abricot, et dont le gout s’avérera un mélange des deux.
- Un légume long et fin (50 cm ?) dont nous hésitons si c’est un concombre ou une courgette, et qui au gout ressemble au concombre avec un arrière-gout de courgette.
L’orage éclate pendant que Nicolas et les filles sont dans le supermarché en train de faire les courses, et transforme les routes en pente en petites rivières.
Nous trouvons porte close au camping que nous visions, fermé pour cause de Covid. Nous passons finalement la nuit sur le parking d’un petit port non loin de Catane.
16 juillet 2020
Nous descendons vers le sud pour se balader dans les rues de Syracuse, une autre ville baroque. Sa cathédrale a été construite à la place d’un temple dorique, dont les colonnes font maintenant partie intégrante du bâtiment.
Nous voyons pour la première fois des papyrus pousser au bord d’une curiosité locale, un bassin d’eau douce alimenté par une source tout près du bord de mer.
Papyrus
Pour la suite du voyage, Nicolas nous trouve un endroit pour rester sur la pointe sud-est de Sicile. L’eau des douches est chauffée au soleil, et c’est largement suffisant par ici. La page est à 200 mètres, tout est propre et la propriétaire est gentille.
Nous y resterons pendant 3 jours à profiter tantôt des vagues, tantôt des poissons, dont certains sont colorés. Le dernier jour, Maxime repère une pieuvre au fond près d’un caillou, à moitié enterrée dans le sable. Les enfants demandent si nous visiterons la ville. « Non, c’est une ville moderne, » sous-entendu sans grand intérêt touristique. « Ah, j’aime bien les villes modernes ! » s’exclame Maxime. « Tu as bien passé 2 semaines à New-York, une ville moderne pourtant, » rétorque Clara.
20 juillet 2020
Nous sommes un peu tristes de partir, mais il faut bien avancer sinon il ne nous restera plus de temps pour visiter ne serait-ce que les principales curiosités de Sicile, et en sachant que nous n’aurons de toute façon pas le temps de visiter tout ce que nous aimerions. De plus Marie et les enfants aimeraient bien se reposer à la plage et se baigner entre les visites des monuments historiques.
Nous passons à Ragusa pour faire une grosse lessive dans une laverie bien équipée. Malheureusement, nous n’aurons pas le temps de visiter la vieille ville, nous repartons près de la côte pour dormir sur une aire de camping-car.